La Gazette de l'ASLV n°40 du 1er au 30 novembre 2025

Ceci dit, un philosophe du 6ème siècle avant J.-C., Héraclite a dit « On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve. » Il soutenait que tout est en perpétuel changement, s’opposant à l’idée de permanence, d’essence et d’identité. Un fleuve n’est jamais le même car il s’écoule constamment et nous-mêmes sommes en constante évolution. Entre la première et la seconde baignade, l’eau et le baigneur auront tous deux changé !

 Ce que nous ferons demain sera donc différent de ce que nous avons fait hier. Pour le faire le dosage de nos énergies aura changé aussi.

Après cette brillante démonstration passons au concret du vécu ce mois de novembre 2025.

  Mardi 4 nous allons à Hérépian avec Denis à la place de Nadine   pour une belle « œnorando » (Gilbert M a dit « neuro-rando » mais il ne l’a pas fait exprès). Nous partons du parking du Musée de la Cloche pour parcourir 14.5 km avec 350m de dénivelé. Nous sommes une vingtaine.

Commentaire de Denis : « Très belle randonnée que Nadine nous a fait découvrir l'an passé et qu'elle se proposait de reconduire ce jour. Hélas, une vilaine chute l'en a empêché, raison pour laquelle je me suis retrouvé "animateur  guide" à sa place aujourd'hui. Espérant qu'elle pansera ses blessures rapidement, nous lui souhaitons un prompt rétablissement. »

Il s’agit donc bien d’une œnorando, comme Gilbert ne l’a pas dit. Elle nous a fait redécouvrir l’appellation de la Haute Vallée de l’Orb où les vignerons élèvent leurs vins avec passion et fierté. Riche d’une nature préservée et de villages typiques, cet itinéraire nous a offert de réelles découvertes patrimoniales et des paysages époustouflants sur les causses et la vallée de la Mare. Manque de chance, nous n’avons pas goûté ces fameux breuvages comme le terme œno le laissait prévoir. C’est à « l’Artichaut » établissement bien connu d’Hérépian que nous nous sommes désaltérés.

Merci Denis pour l’avoir dirigée et Nadine pour l’avoir découverte.

   Vendredi 7 c’est Jean qui nous emmène à Agde pour monter au sommet du « Mont St Loup » en partant du parking de l’Office du Tourisme situé au Cap d’Agde. Le circuit fait 10 km avec 125 m de dénivelé. Nous sommes une bonne quarantaine. Le Palais des congrès du Cap offre un début de montée agréable par la piste bétonnée qui s’enroule autour de l’édifice. La suite sont des routes et des chemins qui permettent d’atteindre la fortification du sommet. Arrivés là nous bénéficions d’une vue à 360° sur le splendide paysage qui nous entoure, la mer au-delà du Cap d’Agde, le Mont Saint Clair de Sète, l’Etang de Thau avec Balaruc les Bains, Bouzigues, Mèze et Marseillan. On peut aussi distinguer Florensac et St Thibery.En fond, le Pic du Vissou et le Mont Saint Baudile forment une ligne d’horizon dentelée.

Je rappelle à l’occasion que l’horizon est une ligne imaginaire qui recule au fur et à mesure de notre avance. Même si vous grimpez en haut du Mont St Baudile, vous ne l’atteindrez pas, elle sera partie sur les montagnes suivantes … Pour cette raison, notre actuel Président (de la République, pas de l’ASLV) n’aurait pas du déclarer que ses objectifs seraient atteints à un horizon daté. A moins qu’il sache déjà qu’il ne pourrait pas les atteindre… Aïe ! je déborde, on ne doit pas parler politique au sein de l’ASLV, alors STOP.

Vous aurez compris que c’était de l’humour. Une vie de nombreuses dizaines d’années nous a forcément fait traverser quelques épreuves plus ou moins douloureuses. Alors, les trois entités qui maintiennent un solide moral sont : -l’Amour, l’Humour et l’Amour de L’Humour… Et celle qui nous maintient en bonne forme physique est : - la Marche à pieds …

Ce qui nous emmène à dire un grand Merci à Jean pour cette « belle Marche »…

   Mardi 11, après quelques problèmes physiques et malgré qu’ils ne soient pas tout à fait résolus, Jean-Louis reprend son rôle de guide et tout le « bureau de l’ASLV » se joint à moi pour le remercier chaleureusement. Il va donc nous emmener à « Nissan les Ensérune » sur la piste « des Moulins ». Nous ferons 14 km avec 230 m de dénivelé. Nous sommes au moins 25. Denis dit « L'automne est bien installé à présent, les randonneurs restent vaillants … ».  Jean-Louis nous fait faire cette randonnée en sens inverse par rapport à l’habitude. C’est une bonne initiative car ainsi nous avons l’impression d’en découvrir une nouvelle.

En arrivant sur les hauteurs des collines d’Ensérune (appelées "puechs"), nous surplombons la basse plaine de l’Aude.  Depuis les crêtes, nous pouvons admirer le panorama.  Au loin, s’offre une belle vue sur la mer, la Clape, le Canigou, l’Oppidum de Nissan les Ensérune et le massif du Caroux. Notre balade débute en plein cœur d’une nature intacte, dans un environnement atypique et préservé. Nous traversons une succession de vignes, de bois de garrigues et de pelouses sèches. Les plus curieux d’entre nous y découvrent de nombreuses espèces végétales, telles que l’Astragale de Narbonne, l’Atractyle humble, la Gagée de Granatelli, toutes protégées. Ces collines forment également des habitats pour la faune où reptiles, insectes et chiroptères trouvent refuge. 

Sur le chemin, un patrimoine historique s’offre à nous. A l'origine les premiers moulins étaient situés à l'est du village mais ont été incendiés dans les années 1350. Par la suite, deux autres ont été bâtis dans les années 1670 sur les hauteurs des collines au sud du village. Idéalement situés aux prises de tous les vents, les précédents furent progressivement délaissés et ruinés. Le 3ème moulin fut construit plus tard, au XVIIIème siècle, ainsi "avant la Révolution" les trois moulins (Delon, Tiquet et Balayé) fonctionnaient simultanément et à grand rendement. La randonnée se termine par la Chapelle Saint Christol, monument wisigothique du Vème siècle. Merci Jean-Louis !

     

Vendredi 14 c’est le jour où Laurette assistée de Serge va nous régaler avec le vin primeur de la région et le buffet campagnard destiné à l’accompagner.  Ca se passe près de la capitainerie du port du Chichoulet. L’installation du buffet se fait avec l’aide de Martine S. Denis dirige la « rando littoral », il longe l’Etang de Vendres et revient par la plage, 7km Facile. Denis a écrit « Malgré une météo "bien ventilée" nous fûmes une trentaine au départ du Chichoulet (et ils se virent une cinquantaine en arrivant au Port). A l'arrivée nous attendait le traditionnel buffet campagnard élaboré avec soin par Laurette et Serge, aidés par Martine. Le vin nouveau a pu ainsi être dégusté avec "Modération" (je ne la connais pas personnellement !!!) et fut apprécié dans l'ensemble. » Vous noterez, chers lecteurs, l’humour débridé de Denis…  

Ce jour là, pour des raisons personnelles qui ne regardent que moi (non ! n’insistez pas, vous n’en saurez pas plus sur ma vie privée…), je n’ai pu rejoindre le groupe que vers 16h mais j’ai pu faire mon discours, le voici : « Bonjour mes amis,

Oui, vous êtes tous mes amis, i s et encore plus i e s. Je pense qu’il est bon de le rappeler de temps en temps.

Aujourd’hui, j’aurais pu vous parler du nombre de participants aux randonnées qui est satisfaisant…

Des Article 1, 2 et 3 pour vous rappeler qu’il faut faire confiance au guide… 

Des effectifs de l’ASLV qui ont atteint le nombre de 180 adhérents la saison dernière et qui s’en approche "dangereusement’"cette nouvelle saison…

Du poids des ans qui nous prive de quelques anciens qui vont cruellement nous manquer mais sont remplacés par de valeureux nouveaux et de la moyenne qui du coup, se maintient à 72 ans…

Du programme de la saison, Montlouis, Volvic et toutes les sorties et séjours que nous promet Sonia …

Eh bien non ! Aujourd’hui, nous sommes ici pour célébrer  le vin et sa naissance à l’occasion du vin nouveau. J’ai beau vous espérer nombreux à me montrer que vous êtes plus sportifs que ripailleurs, mais je sais que c’est en vain car comme moi, vous préférez le Vin…

Eh oui, moi-même « J’suis issu de gens qui étaient pas du genre sobre

On conte que j'eus la tétée au jus d'octobre

Mes parents on dû Me trouver au pied d'une souche

Et non dans un chou comme ces gens plus ou moins louches

En guise de sang Ô, noblesse sans pareille
Il coule en mon cœur La chaude liqueur d'la treille

Quand on est un sage Et qu'on a du savoir-boire
On se garde à vue En cas de soif, une poire
Une poire ou deux Mais en forme de bonbonne
Au ventre replet Rempli du bon lait d'l'automne

Jadis, aux Enfers Certes, il a souffert tantale
Quand l'eau refusa D'arroser ses amygdales
Être assoiffé d'eau C'est triste, mais faut bien dire
Que, l'être de vin C'est encore vingt fois pire

Hélas, il ne pleut Jamais du gros bleu qui tache
Qu'ell's donnent du vin J'irai traire enfin les vaches
Que vienne le temps Du vin coulant dans la Seine
Les gens, par milliers Courront y noyer leur peine »

Merci Georges Brassens pour la chanson.

Je ne l’ai pas chantée mais dite comme un poème. Ensuite j’ai fait chanter avec moi « Les chevaliers de la table ronde ».

Le buffet était somptueux.

Merci Laurette, Martine, Serge et Denis pour ce bel après-midi…

    Mardi 18  c’est mon tour, Baroudeur, de guider au départ de Nébian la rando « de la Tourelle aux meules ». 15 km et 500 m de dénivelé. Nous sommes une trentaine.  

Le parking, au centre du village, n’offre que peu de places et quelques voitures doivent chercher à se garer plus loin. C’est un inconvénient à prendre en compte une fois prochaine. Le circuit nous fait découvrir la richesse des paysages de Nébian. Depuis la colline de la Ramasse, point le plus haut de la randonnée, en passant par le Mas de Roujou puis la Tourelle, il nous conduit à la chapelle Saint-Jean où nous déjeunerons car c’est l’endroit idéal pour cela. Des tables, bancs et bordures assurent un confort fessier agréable. En plus la cloche de la chapelle étant accessible on va pouvoir l’utiliser pour signaler le début des agapes. Vous en conviendrez, c’était primordial ! Pour en finir avec cette chapelle, il faut bien dire son importance pour les anciens tels que Gibert Carraz qui nous manque aujourd’hui, Pierrot Gil, Alain Bories et Jean-Louis Pignol. C’est avec eux que j’ai fait mes premiers pas ASLV. Pour m’intégrer j’avais prévu la « kémia », ils ne l’ont pas oublié.

Nous repartons pour atteindre le tènement des Beaumes en franchissant la Dourbie un affluent de l’Hérault. Au retour, notre sentier passe par la colline de Pichaures, vue panoramique 360°. Nous terminerons par le chemin aux 1000 plantes, sentier botanique créé par les enfants de l’école, la source Navis et le vieux village. Ah oui ! C’est là que nous avons perdu Brigitte F. En faisant ses photos elle ne nous a pas vu tourner et s’est retrouvée dans le labyrinthe des ruelles. Enfin nous l’avons retrouvée et ramenée avec le reste de la troupe à l’Intermarché de Clermont l’Hérault où il est devenu tradition d’acquérir du miel.

Merci Baroudeur.  

    Vendredi 21 Denis, toujours présent, nous conduit auprès de l’Abbaye de Fontcaude sur le parcours « Combelles & Montmajou ». 9.5 km et 170 m de dénivelé. Nous sommes une vingtaine sur une rando tracée par Gilbert Carraz.

Nous marcherons sur les pas des pèlerins du Moyen-âge, vous trouverez une description de ce parcours dans des gazettes précédentes car nous l’avons déjà fait plusieurs fois.

En fin de rando, nichée au cœur de son écrin de roche calcaire, elle se dévoile, fière et imperturbable depuis des siècles, l’abbaye de Fontcaude, témoignage du dernier art roman Languedocien.

Nous déplorons la mésaventure de Maria qui, arrivée trop tard, n’a pas pu nous rejoindre car l’itinéraire n’est pas balisé.

C’est à Puisserguier que nous avons terminé autour du pot de l’amitié cette belle randonnée.

Merci Denis.  

    Mardi 25  Oh rage ! Oh désespoir !... N’ais-je donc tant vécu que pour cette infamie ?  Rater une rando à découvrir, je ne la connaissais « ni des lèvres, ni des dents ». Pour les mêmes raisons personnelles citées plus haut qui ne regardent que moi j’ai dû annuler ma participation à cette marche guidée par Jean-Luc à Taussac-la-Billère sur le circuit « les Orgues ». 14.5 km et 550 m de dénivelé. Ils sont, comme huitres ou œufs,  une douzaine.

Les Orgues de Taussac sont des dolomies, apparentées au calcaire de par leurs constitutions (carbonate double de magnésium et calcium). Leurs formes sont torturées.

La rando démarre de façon originale par le passage du Porche et l'Hôtel des chats. Le fléchage s'enfonce rapidement dans la forêt de châtaigniers pour atteindre l'Oratoire par de larges pistes. Après le cimetière des voitures la piste vous emmène tranquillement à la cote 456 pour traverser la D13. Le sentier attaque alors un long passage de crêtes. Au kilomètre 4,3 on doit prendre bien à gauche le panneau TAUSSAC. La petite descente sur Taussac est bien caillouteuse.
Après avoir longé les maisons par un sentier discret il faut obliquer bien à droite vers une descente très raide en direction des Orgues de Taussac.

Merci Jean-Luc.
 

     Enfin pour clore ce mois de Novembre, vendredi 28 , nous irons à Murviel-Lès-Béziers sur la piste « des pigeonniers » avec Jean. 10 km et 160 m de dénivelé. Nous sommes 35.

Le départ est sur le chemin derrière le parking des camping-cars. Nous redécouvrons avec plaisir le grand bâtiment « pigeonnier » au début de la rando ainsi que le reste de l’itinéraire toujours agréable à parcourir.

Merci Jean.

    Spectacles

 

 Humour

Un peu de Desproges :

« … l’irréelle clarté des fonds marins mordorés où s’insinue le congre que, donc, le bar abhorre. Ben oui : le bar abhorre le congre par atavisme. Le congre est barivore. Et donc le bar l’abhorre. Si vous voulez, le bar est fermé aux congres du fait même que le palais des congres est ouvert au bar. »

Les pensées de Michel Galabru

Nous les devons à Jean Moutarde dit "Le Colonel". On ne le voit plus beaucoup mais nous ne l'oublions pas et lui disons un grand MERCI.

    Recettes de « BIEN-ETRE »

La chronique de Brigitte F

MA PETITE SEANCE BIEN ETRE Novembre 2025 – Préparer les fêtes

Les fêtes de fin d’année se profilent à l’horizon. C’est l’occasion de se retrouver en famille et/ou avec des amis pour un moment de partage. On peut se lâcher un peu et profiter de la joie des retrouvailles autour de bons repas. Ne vous privez pas de ces bons moments. Il y a un temps pour tout !

Pour digérer sans encombre, mangez des mets de saison, des légumes sous forme de soupe ou cuits pour se réchauffer et réchauffer l’estomac, les fruits de mer pour le zinc. Même les graisses ont leur utilité pour la satiété et les omégas 3.

Buvez de l’eau et/ou des tisanes, en particulier de gingembre. Vous trouverez des rhizomes dans les grands magasins et magasins spécialisés en fruits et légumes. Laisser bouillir le rhizome 10 mn et consommez, cela facilite la digestion.

Dans les 10 jours qui précèdent, marchez tous les jours, histoire de préparer l’organisme. Inutile de faire de grandes sorties car c’est la régularité qui est efficace. En principe, amis randonneurs, vous le faites. Maintenant, faites-le en conscience.

Marchez aussi pendant 10 mn, après les repas, cela évite les pics de glycémie. Mais marchez doucement pour ne pas contrecarrer le travail que fait votre corps pour digérer.

Dans les remèdes de grand-mère, certains prennent une cuillère à café d’huile d’olive le matin du jour de repas. Cela tapisse l’estomac. 

Massez vous le ventre dans le sens des aiguilles d’une montre, les jambes en l’air, pendant 3 mn, avant le repas. L’estomac se réchauffe. Vous pouvez utiliser les huiles essentielles de gingembre ou thym linalol, ou thym à géraniol, ou ravintsara ou gaultherie ou basilic exotique diluée avec une huile végétale.

Massez-vous le ventre après le repas pour accompagner la digestion.  Avoir la peau du ventre bien tendue, au niveau physique c’est parfois désagréable. En massant, votre organisme comprend qu’il est bien nourri, avec amour et attention, à satiété. Tout va bien.

Certains vont boire de l’alcool un peu plus que d’habitude. Même si c’est un verre ou deux, il faut protèger son foie. L’huile essentielle de carvi est idéale pour cela.

Recettes :

• 1 goutte huile essentielle de carvi + 1 goutte huile essentielle thym à thujanol + 2 gouttes huile essentielle citron. A diluer dans une cuillère à café de miel ou d’huile de nigelle15

Vous pouvez préparer une quantité plus importante si vous avez plusieurs repas prévus. Dans un flacon de 5 ml :

• 20 gouttes HE carvi + 40 gouttes HE citron + 15 gouttes HE thym à thujanol dans 2,5 ml d’huile végétale de nigelle.

Prendre 8 gouttes de cette préparation avant et après le repas si ce dernier est arrosé. Si vous avez 2 repas arrosés dans la journée, cela fera 4 prises. Efficace contre les lourdeurs et la sensation de gueule de bois du lendemain.

Et pour terminer sur une note positive, j’avais reçu il y a quelques années un texte indiquant tous les bienfaits du champagne. Je ne sais pas qui est l’auteur mais je voulais le partager avec vous.

Le champagne :

Ce vin est exceptionnellement riche en sels minéraux : sodium, calcium, magnésium et surtout bi-tartrate de potassium.

Ce composé minéral a la propriété de favoriser la tonicité et la contraction des fibres musculaires lisses et striées.

Il renforce la systole cardiaque.

Riche en phosphore, aliment du système nerveux, il est un euphorisant naturel.

Bactéricide surtout intestinal, il a une action tonique sur l’estomac.

Par son acidité naturelle, il combat le cobacille qui se développe en milieu alcalin.

Par son effet désintoxiquant, il nettoie les vaisseaux des dépôts calcaires et les parois vasculaires. Il fait obstacle à la sénescence et aux rhumatismes.

Il agit contre l‘aérophagie et l’estomac paresseux.

On dit du champagne qu’il est « le lait du vieillard ».

On l’utilise contre les affections coronariennes et aide ceux qui relèvent d’un infarctus. Et également on l’utilise contre la goutte et l’arthrose.

Bon, même si cela reste à vérifier, n’oubliez pas qu’il faut boire avec modération.

En attendant, je vous souhaite de très bonnes fêtes de fin d’année, amusez-vous, riez, dansez , profitez !

Brigitte

Sources :

RDV aromadecembre 2022 – Repas de fêtes

 

 

 

                                                                                                                     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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