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N°8 du 16 au 31 mai 2023  

Cette deuxième quinzaine de Mai a commencé sur les chapeaux de roues par la deuxième rando-rencontre de la saison 2022-2023. Ce fut un grand moment comme vous le verrez ci-après. De plus, j’ai la confirmation, s’il en fallait une, que la grande majorité des adhérents sont plus intéressés par les loisirs et les agapes que par l’effort physique et sportif. Bon c’est comme ça, je ferai avec, mais je continuerai à prévoir des belles randonnées dans notre magnifique arrière pays car le petit nombre de résistants de l’association le mérite. Eh oui, je ne baisse pas les bras car je continue à croire en vous et j’espère que cette détermination vous incitera à revenir à plus d’efforts.

Ce n’est pas pour autant que j’oublie les problèmes physiques de la plupart d’entre nous. Je sais bien que nous ne sommes pas issus de la dernière pluie, l’arthrose, les articulations déficientes, les opérations, les stents, nous avons tous eu notre lot de soucis de santé plus ou moins graves. Nous sommes tous des TAMALOUS … Mais, nous sommes aussi des randonneurs et nous sommes là ! Au début de la Gazette précédente nous avons pu voir les bienfaits de cette activité, alors, n’en doutons pas, si nous sommes encore capables de marcher c’est parce que nous marchons ! Marchons ! Marchons ! Qu’un sang impur … Oh, là, là ! Je m’égare, j’arrête à présent, je ne voudrais pas être obligé de finir d’écrire ce numéro au garde-à-vous ?

Mardi 16 : Journée rencontre à Rosis image-20230602064922-5.png  Pique-nique prévu par l’ASLV à la rencontre des  randonneurs qui feront les “ Gorges de Colombières ” avec dénivelé 820m 13kms difficile et les marcheurs qui, partant du sommet, descendrons les mêmes gorges sur 2 km environ pour remonter par le même chemin.  

Je devais diriger la rando difficile pendant que Denis promenait le reste de la troupe sur les hauteurs de Rosis. Mais je n’avais rendez-vous avec ma toubib (or not toubib) que le lendemain. Qu’aurait-elle pensé de la prise de risque bravée ? J’étais dans l’expectative … J’avais tellement (comme dit Cabrel) envie de faire cette marche en-tête... Et voilà que le miracle se produit, Laurette m’appelle au secours, Serge, son mari qui d’habitude la conduit et la seconde, a lui aussi un souci de santé, il ne pourra pas y aller. Je n’ai donc plus de doute sur ce que je dois faire, je conduirai Laurette et Jean-Luc guidera la rando des Gorges de Colombières.

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« Grimpeurs, randonneurs, amoureux de la nature bénéficient d'un décor époustouflant.
Profitez d'un lieu unique avec des paysages variés.  Les montagnes, Les forêts, les cascades creusées par le ruisseau d'Arles font des Gorges de Colombières des gorges plus sauvages et moins accessibles que celles d'Héric.
Il existe également de nombreuses randonnées pour rejoindre le Caroux, dont la plus célèbre, le "PR des Gorges de Colombières" de 13 km, avec sans doute l'un des plus gros dénivelés existant en "PR" dans l'Hérault (+818 m). 
Depuis le panneau de départ sur le parking, redescendre vers la RD908, partez pour environ 5h de marche, suivez le balisage jaune qui vous permet de remonter hors des Gorges sous l'ombre des châtaigniers (début assez rude, 400 m de dénivelé).Découvrez les roches qui abritent des maisons troglodytes, avant de profiter des bassins à la Fage. La redescente se fait sur une ancienne voie romaine caladée, qui serpente au milieu de châtaigneraies, entre bruyère et genêts. Des passages aménagés avec de larges dalles sont régulièrement posés à plat pour votre sécurité. »

Au rendez-vous devant l’Espace Guy Combes, panique, nous sommes une bonne cinquantaine. Il faut séparer le bon grain (les randonneurs-euses des Gorges) de l’ivraie (les promeneurs-euses des cimes). Remplir les véhicules à bon escient car il y a deux itinéraires bien distincts. Briffer les chauffeurs, heureusement j’avais fait l’itinéraire sur un plan que les plus malins ont photographié avec leur Smartphone. Enfin, vers 10 heures, tout le monde était arrivé, le vent nous a fait changer la place du pique-nique, les marcheurs-euses ont fait leur petit tour d’environ 4 km et 70 m de grimpette. Jean-Luc est arrivé avec les costauds-audes de la grande rando et nous nous sommes tous installés autour de la table magnifiquement garnie par Laurette avec l’aide de Sonia et Jean-Louis.

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Le Buffet Campagnard n’avait rien à envier à celui de la Samaritaine et les marcheurs-euses en ont pleinement profité. Les quantités furent parfaitement calculées, tous et toutes ont bien mangé et il n’est rien resté. En plus le soleil a fait quelques apparitions afin de nous réchauffer le corps et le cœur ce qui fut fort agréable.

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Une fois restaurés, les grands randonneurs-euses sont partis pour la longue descente caillouteuse ramenant à Colombières. Nous, ceux et celles d’en haut, sommes allés, en voiture, visiter le hameau de Douch, son hôtel à insectes, son chamois et ses jolies maisons aux pierres apparentes. Belle surprise, à l’autre bout du village, un charmant jeune homme a ouvert un local. Il l’a nommé, « La Maison du Chamois », et décoré avec des objets et des renseignements sur la région. On a pu y prendre thé ou café et se prélasser sur la terrasse avant de retourner à nos autos pour rentrer à la maison.

Ça c’est passé à Rosis, hameau de Douch :

Le 10 septembre 1943 eut lieu, dans le massif du Caroux (Hérault) le premier affrontement armé (ou l’un des premiers) entre un maquis et les forces armées allemandes. Le maquis Bir Hakeim (AS) perdit deux hommes. Quatre autres furent faits prisonniers et furent fusillés à Toulouse (Haute-Garonne)

En suivant le lien ci-dessous vous trouverez tous les détails de ce fait héroïque  

https://maitron.fr/spip.php?article187424

Un merci particulier à Laurette pour le buffet, à Sonia et Jean-Louis pour leur aide, à Jean-Luc pour la grande randonnée et à Denis pour la marche.

Vendredi 19 : GRUISSAN “ la Capoulade ” avec Marc  image-20230602070607-8.png  Dénivelé 200m distance 12kms Moyen. Sous sa moustache, Marc n’a pas caché un grand sourire de satisfaction, il est heureux car il a enfin réussi à organiser cette randonnée, depuis plusieurs années elle avait dû être annulée pour cause de mauvais temps à chaque programmation. Mais cette fois, ça y est, nous allons la faire, Marc est content, on le comprend. Et nous sommes 23, bel effort !...

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La Capoulade ? Mais qu’est-ce que c’est ? Allons voir sur la toile …

Le sentier de Capoulade débute au bord de l'étang de Gruissan, de l'autre côté de l'étang par rapport au village, au lieu dit du Pont Jaune.Pour y accéder, depuis le village emprunter en voiture la route dite de Mandirac, direction les salins puis à droite au rond-point après le pont. A 1.5km sur votre droite, se stationner au niveau du pont jaune interdit à la circulation et le traverser.Le circuit longe l'étang et les espaces lagunaires et remonte par la pinède et les vignes vers les hauteurs de Capoulade, d'où l'on observe les étangs, le village et le château.

Bon, c’est le nom de notre parcours et je n’ai rien trouvé d’autre à part des noms de familles de la région. Nous ne sommes pas partis de l’endroit indiqué mais d’un autre parking plus facilement accessible pour nous. C’est un beau circuit, qui offre des belles vues sur Gruissan et toutes les eaux qui l’entourent. Le groupe de marcheuses et marcheurs a grandement apprécié la ballade.

Merci Marc, c’est une randonnée à refaire.

 

Mardi 23 : NAVACELLES “ moulin de la Foux ” avec Alain Bories image-20230602072538-10.png Dénivelé 600m distance 14kms Difficile Départ à 8h00.

Alain Bories n’a pas la chance de Marc, la météo prévoit des orages sur toute la région et surtout vers le Nord. Alors, nous sommes cinq valeureux anciens et nous estimons qu’il est plus raisonnable d’aller moins loin. Un bon nombre de sportifs et sportives qui auraient fait Navacelles avec plaisir sont en séjour cycliste en Espagne.

Nous décidons par conséquent d’aller découvrir une rando autour du barrage des Olivettes. Et donc :

Rando VAILHAN « Barrage des Olivettes », avec Alain Brunel   image-20230602072638-11.pngdénivelé 270 m, distance 12.5 km. Pour aller au départ, avec une seule auto, celle d’Alain Bories, nous prenons la A75 jusqu’à Pézenas, puis à Roujan la direction de Vailhan et nous arrivons sur un grand Parking ombragé au bord de la rivière « Peyne ». Plus en amont, c’est cette rivière qui est retenue par le « Barrage des Olivettes ».

Après une montée jusqu’au barrage nous faisons quelques kilomètres en longeant le Lac des Olivettes sur notre droite. Puis nous obliquons carrément vers la gauche pour monter vers le sommet de la rando. De là haut nous découvrons de belles vues sur le Lac, le Village de Vailhan et les alentours. A proximité, sous couvert, deux tables avec bancs attenants nous tendent les bras (si j’ose dire), pour notre déjeuner.            

Après une bonne collation nous repartons, nous sommes juste au dessus du parking mais la descente est raide dans un sentier étroit avec trous, bosses et enrochements. 

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Sur le chemin nous avons remarqué de temps à autre des petits poteaux métalliques surmontés d’une boite. La curiosité nous pousse à regarder le contenu de cette boite. Il s’agit d’une pince de balise de course d’orientation. Il sera peut-être intéressant d’organiser une marche d’orientation en utilisant ce circuit ?

Nous voici auprès de notre véhicule, nous n’avons parcouru que 9,5 kms. Alors après nous être un peu allégés, nous partons à l’assaut de Vailhan, c’est un joli village surmonté d’un château en ruines que nous explorerons certainement une fois prochaine. Nous croisons une ribambelle d’enfants escortés de leurs maîtresses. Posons quelques questions à la préposée de la mairie, et retournons à la luxueuse Citroën.

A Roujan une agréable terrasse s’offre à la désaltération de nos gosiers asséchés par l’effort et la chaleur des orages latents ne nous ayant pas encore atteints. Ouaahou ! Cette phrase là, fallait la sortir !...

Merci moi, nous pensons avoir découvert un site intéressant pour un vendredi à la  journée.

Vendredi 26 : CASTELNAU DE GUERS “ Hermitage”avec Alain Brunel dénivelé 150m 10kms Moyen. Ben, oui, c’est moi q’y remet, évidemment, ils sont tous en Espagne avec les bicyclettes « à se rouler dans les champs, faisant naître un bouquet changeant, de sauterelles, de papillons, et de rainettes… »

Départ du Parking du cimetière du village. Il fait beau et même chaud (enfin !). Il s’agit d’un itinéraire en boucle généralement considéré comme un parcours modéré. Il nous mène sur des chemins de campagne cultivée. Entre vignes, bosquets, ruisseaux et odorants bouquets de romarin. Nous ne pouvons qu’apprécier ces paysages doucement vallonnés. Un bel itinéraire idéal pour une randonnée du vendredi.

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Je dois avouer que je n’ai pas choisi cette rando par hasard, en fait, je voulais revoir « l’étendoir des fées » (voir rando des statues de Montagnac dans la Gazette n° 2) et en  faire profiter à celles et ceux qui ne connaissaient pas. Avant d’y arriver, on peut voir sur la carte que l’on va passer par une chapelle « St Nicolas ». Première surprise, on est passé à coté sans la voir. Deuxième surprise, l’itinéraire fait le tour de l’étendoir des fées sans y accéder. Heureusement j’ai reconnu les lieux et nous nous y sommes arrêtés pour le plaisir de tous. Sauf de Danièle L qui depuis déjà un bon moment souffrait des pieds et avait beaucoup de mal à marcher. Du coup, j’ai décidé d’écourter la marche en rentrant directement au village. Ainsi, troisième surprise, nous n’avons pas vu « l’ermitage St Antoine ». La plupart des participants(tes) ont tout de même apprécié cette randonnée et m’ont demandé de la refaire à l’occasion.

Nombreuses et nombreux m’ont dit merci et j’ai répondu : « Y’a de quoi ! »… 

Mardi 30 : MINERVE “ Gorges du Brian ” avec Louis  image-20230602082354-3.png Dénivelé 550m  15kms Moyen. Le trajet en voiture pour aller à Minerve s’est bien passé jusqu’à l’accès au Parking en haut du village. Après nous être engagés deux fois sur des routes qui nous éloignaient et avoir fait deux périlleux demi-tours, nous avons fini par trouver cette aire de stationnement.

Nous sommes 11, contents de découvrir ou retrouver sous la conduite de notre « bon Louis » les  Gorges de la Cesse et du Brian. Le plateau calcaire et les gorges ont été façonnés par l’eau, qui a produit ce relief karstique typique composé de grottes, de failles, de diaclases dans lesquelles l’eau s’infiltre et circule sous terre.
La Cesse a la particularité de disparaître dès les beaux jours sur environ 17 km ! Elle abandonne son cours aérien en amont de Minerve et réapparaît à Agel à la résurgence appelée «  Le Boulidou ». Elle poursuit ensuite son cours et se jette dans l'Aude à Sallèle d'Aude après avoir croisé le Canal du Midi.

Cette région viticole (AOC Minervois) se situe dans l’Hérault, entre le Cabardès à l’ouest, les Corbières au sud et la Montagne Noire au nord.

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https://static.xx.fbcdn.net/images/emoji.php/v9/fb0/1.5/16/1f609.png   Son nom vient du village de Minerve, qui s’est illustré lors du siège de la “guerre des châteaux”, qui suivit l’extermination des Cathares.
Une catapulte (la Malvoisine) reconstituée, placée à l’endroit où étaient installées les vraies, menace encore le village.

Minerve est perché sur un éperon rocheux, entouré des gorges de la Cesse et du Brian, la Cesse est souvent souterraine et ne coule que lors de fortes précipitations. Ce n’est pas le cas pour nous, il fait bien chaud et elle est complètement à sec.

Nous partons du parking de Minerve. De là, revenons sur quelques dizaine de mètres par le route de montée et le sentier balisé en jaune est sur notre droite.

Il se faufile au-dessus des gorges avec de belles vues plongeantes. On suit ensuite une piste dans le maquis et on coupe la voie verte goudronnée pour continuer sur la piste en face qui part à gauche et descend bientôt vers les gorges du Brian.

Après avoir traversé le Brian, nous suivons encore la piste carrossable pour la laisser dans un virage et prendre le sentier en balcon en face. Les vues sont très belles. Le sentier passe devant un captage et plonge bientôt à gauche par une petite sente superbe. Après une maison forestière, on passe un genre de portillon sur la gauche et la randonnée devient plus sauvage, jusqu’au pont piéton en pierre que nous traversons pour revenir sur l’autre côté de la gorge. Evidemment, Monique ne rate pas la photo de notre passage sur ce pont étonnant.

Au pied du pont, des vasques invitent à la baignade, en principe interdite. Pas de problème pour nous, nous n’avons pas nos maillots de bain.

A partir de là commence une montée dans un sentier étroit sur le flan de la gorge. Avec la chaleur, ça commence à être une épreuve. C’est vers 13 heures que nous arrivons en haut du plateau, profitons d’un beau point de vue et trouvons une place semi-ombragée au bord du chemin. Denis s’installe dans la carcasse rouillée d’une bagnole, nous pensons qu’il doit crever de chaleur mais lui prétend avoir mis la clim !...

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Le retour est vraiment très beau et l’arrivée au-dessus de Minerve par un vaste plateau est spectaculaire. On se regroupe autour de la catapulte en imaginant les projectiles qu’elle pouvait balancer sur la ville. Il reste à descendre un chemin escarpé, un escalier, des passerelles et à remonter des chemins, des escaliers, des passerelles pour arriver au Nirvana, une superbe terrasse abritée avec vue dégagée. Les boissons fraîches ne pouvaient pas être mieux servies. Une fois désaltérés, il reste encore un petit kilomètre pour retrouver les voitures.

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Le retour à Valras se passe sans problème ni demi-tour (à ma connaissance)…

Merci Louis, tu nous a régalés !

Ce qui nous attend les prochaines semaines

EN JUIN Le repas de fin de saison aura lieu mardi 20 à Béziers Plage  -sans plage mais avec des paons… et des chapeaux. Nous sommes déjà une soixantaine, vous pouvez encore vous inscrire jusqu’au 9 juin –comme prévu.

Vous aurez compris que cet évènement à pris la place de la rando programmée ce même 20 juin. Encore une qui m’échappe ! Je la ferai quand même, un autre mardi, parole de Président !

JUILLET et AOÛT du 21 juin au 4 septembre, trêve estivale. Vous recevrez bientôt les programmes de septembre et octobre.

En SEPTEMBRE deux évènements majeurs, la journée des associations le samedi 9 et le séjour à Ste Maxime du 23 au 30.

Quelques blagounettes pour l’humour règlementaire

Courtes et fines... mais féroces !

C'était il y a « quelques » années, Pierre Mendès-France faisait un discours à l’Assemblée nationale. Un député antisémite notoire lui crie alors : 

Ta gueule le circoncis ! Et sans s'énerver, Mendès-France lui fait une réponse géniale.  Décidément… votre femme est trop bavarde !!!

 Mon mari peut-il encore faire l’amour maintenant qu’il a fait un infarctus. Certainement, madame, répond le médecin, mais uniquement avec vous, car il ne faut absolument plus qu’il s’excite !

 Ça fait des heures à présent qu’il pleut ! Ma femme est complètement déprimée, elle regarde continuellement par la fenêtre… si ça continue comme ça, je crains de devoir la laisser rentrer…Hier, j’ai dit à mon mari entreprenant : est-ce que ça te tente de jouer au docteur ?Il a répondu, tout excité : Ben oui !

Je l’ai fait attendre une heure dans le salon, ensuite, je lui ai donné rendez-vous dans 3 mois !

 Un homme entre dans un bar, brandissant un fusil. Je veux savoir qui a baisé ma femme ! Une voix, du fond du bar : Tu vas manquer de cartouches… !

  Juste avant de dormir, un jeune marié demande à son épouse : Ma chérie, as-tu connu d’autres amants avant moi ?Pa s de réponse… très, très long silence…

 Au bout d’un certain temps, le mari chuchote : Tu dors, ma chérie ? Non, je compte…

Une maitresse d’école demande de faire une phrase dans laquelle il y a l'expression « je présume ». Une petite fille dit : Hier, Maman lavait la vaisselle à la main, je présume que le lave-vaisselle était en panne. Très bien, dit la maîtresse. Un autre dit : Ce matin, papa est sorti du garage avec la Volkswagen, je présume que la BMW ne voulait pas démarrer. Bravo !  Un p'tit gars au fond de la classe lève la main. Hier, j'ai vu grand-père sortir de la maison et se diriger vers le bois avec le journal sous le bras, je présume que…  Je t'arrête, dit la maîtresse, parce que là, tu ne savais pas du tout ce que ton grand-père allait faire, et tu ne peux rien présumer.  Maîtresse, laissez-moi terminer ma phrase, dit le petit gars. Très bien, vas-y, dit-elle. Donc, comme je viens de vous le dire, j'ai vu mon grand-père sortir de la maison et se diriger vers le bois avec le journal sous son bras.  Je présume qu'il allait chier, car il ne sait pas lire.

Ainsi s’achève numéro 8 de LA GAZETTE DE L’ASLV, en espérant que sa lecture vous aura intéressés je vous dis : « à bientôt sur les chemins, et sur les pages des prochaines GAZETTES ».

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NOTA : D'autres photos correspondant à ces évènements ainsi que les dernières gazettes sont visibles sur le site valrasrandosloisirs.

 

 

 


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